lundi 3 octobre 2011

LORSQUE LA JUSTICE SE MET A LA DISPOSITION DE LA MAFIA POUR REGLER UN COMPTE PERSONNEL


VOUS POUVEZ LIRE LE CONTENU DU NOUVEAU SITE EN COURS DE CONSTRUCTION.

Il est créé, à l'initiative des amis de Rachid MABED.

Vous verrez implicitement, comment des voyous habillés en tenue de notables, ont comploté en bande organisée, pour violer outrageusement les lois de la république.

Vous comprendrez comment ces voyous de la république ont volontairement commis une forfaiture judiciaire en actant de réels "déni de justice" dans le but de fabriquer un coupable pour régler un compte extra-judiciaire.

J'ose espérer que ces autorités délinquantes organisées en corporation de plus d'une dizaine de comparses et qui s'octroient une auto-immunité judiciaire , seraient condamnées pour avoir rendu volontairement, un énorme dysfonctionnement au nom du peuple français.

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http://www.monstrueuse-injustice.net/

MONSTRUEUSE INJUSTICE
Il est de notoriété publique que les policiers français fassent en sorte d'infiltrer directement ou indirectement, les groupes de mafieux dans le but de démanteler des réseaux criminels.

Cela ne peut pas choquer le commun des mortels car l'action se fait dans l'intérêt de l'ordre public mais surtout dans le respect des lois de la République.

Cependant, lorsque la mafia infiltre la justice et qu'elle prend les commandes d'une instruction dans le but de régler un compte extra-judiciaire alors nous réalisons que nous sommes dans la dictature judiciaire la plus tordue au monde.

Même en Italie, nous n'avons pas eu connaissance d'un cas où la mafia sicilienne ait pu faire aboutir une affaire pénale à son profit, sans faille et avec la bénédiction des plus hautes autorités judiciaires.

C'est le doyen des juges d'instruction niçois qui fut cité dans une affaire de pédophilie et qui par la suite, a été radié de la magistrature pour sa proximité avec la mafia italienne, qui a donné ordre pour que soit maintenu en prison, un innocent qui gênait les agressions xénophobes d'une bande de voyous, habillée en costume de notable.

L'affaire RACHID MABED qui est détaillée dans ce blog, va forcément en choquer plus d'un mais elle va porter un coup terrible sur le fonctionnement inquiétant de l'institution judiciaire, le contrôle soit disant infaillible de la cour de cassation, la probité des magistrats, le respect des droits du justiciable et la transparence de la justice française.

Comble de l'ironie, l'actualité de Dominique STRAUSS-KAHN vient confirmer que la justice française n'est qu'un déchet bon à jeter dans les poubelles du système accusatoire, combien éminent, des états Unis d'Amérique.

En effet, il apparait que l'affaire DSK n'est qu'un remake de l'affaire Rachid MABED où nous trouvons les mêmes ingrédients à savoir une femme de chambre pauvre, émigrée, seule avec 2 enfants mineurs à charges, musulmane, menteuse invétérée devant l'autorité judiciaire justice et impliquée dans un trafic de stupéfiants en France.

la différence entre les 2 affaires est que pour le dossier Rachid MABED, il n'y a pas eu de preuve ADN, pas de témoignage direct mais la plaignante a non seulement officiellement été condamnée par le tribunal correctionnel de Nice pour trafic de stupéfiants mais elle a produit un faux en écriture pour justifier d'un viol fictif à savoir un certificat médical que son médecin traitant supposé l'avoir délivré, reconnait comme étant un faux.

Là ou on reproche une lenteur de la justice américaine a reconnaître l'innocence de DSK, la France a séquestré Rachid MABED puis l'a condamné sans gêne par des magistrats qui étaient certains de son innocence et avec l'aval des plus hautes autorités judiciaires dont la complicité directe et honteuse, de Mme Elisabeth GUIGOU qui se présente comme démocrate républicaine.
INTRODUCTION
Innocent, un militant actif pour la défense des droits de l’homme qui a dénoncé de nombreuses exactions policières, a été jeté en prison pour un crime fictif suite à une combine police-justice.

Cette manipulation a débuté dans l'illégalité totale par une instruction octroyée à un magistrat conjointe d'un commandant de la police nationale, sous les ordres directs de son Directeur départemental qui a officiellement déposé devant le parquet de Nice, une plainte pénale à l'encontre de Rachid MABED et la cour de cassation a validé cette irrégularité.
Ci-joint la plainte du plus grand patron de la police contre RACHID MABED qui, avant son incarcération, avait transmis au cabinet du Ministre de l'intérieur, vingt sept cas d'agressions policiers sur des Algériens, puis après son incarcération une lettre qui lui rappelle son islamophobie invétérée et qui est publiée ci-dessous.

En premier ressort, M. MABED avait déposé une plainte hiérarchique à l'encontre de M. Pierre PETITJEAN, ancien Directeur Département de la Sécurité Publique des Alpes Maritimes et le Ministre de l'intérieur a déclenché une enquête des services qui a donné lieu à un procès verbal établi par la police des polices.

Voilà comment une instruction inique, orientée uniquement à charge, initiée puis gérée à distance par les services de la police nationale comme au temps du régime de Vichy, a abouti à une parodie de justice qui s'est soldée par une comparution rocambolesque devant une cour d'assises.

C'est avec de multiples violations de la loi et les droits de la défense bafoués, que M. MABED a été condamné par des magistrats dont le coup de grasse a été porté par un bourreau insolent, qui est connu pour ses idées Front National.

Bien que ce Président de la cour d’Assises d'appel qui avait le devoir d'impartialité, ait insulté M. MABED en pleine audience avec mention de cet acte dans la procédure, la cour de cassation n'a pas cassé le jugement.

Le pire est que ce président de la cour d'assises d'appel, a été juge et parti dans la procédure dans la mesure où il était en procès avec M. MABED suite à une plainte pénale déposée contre lui avant l’audience ce qui a donné lieu à un procès en chambre correctionnelle après l’audience.

Nous réserverons un chapitre sur ce magistrat qui a supervisé le dossier RACHID MABED avec la publication des pièces justificatives tant sur ses abus de pouvoir manifestes en sa qualité de président de la cour d'assises d'appel de Draguignan, que sur son procès devant les chambres correctionnelles en sa qualité de prévenu.

Comment peut-on crédibiliser la condamnation rendue par une cours d'assises constituée de personnes manipulables, sans aucune expérience, parfois jeunes ou sans instruction, impressionnés par de rusés magistrats expérimentés qui peuvent les travailler au corps en partageant avec eux, les pauses avec boissons et petits fours durant plusieurs jours ?

Qui peut dénoncer un président de Cour d'assises qui aurait traité de criminel l'accusé dans le secret des délibérations, qui aurait forcé des jurés à suivre son indication ou qui aurait refait le vote jusqu'à ce qu'il obtienne la condamnation voulue ?

Dans ces conditions que la loi impose, nous constatons qu'être un proche d'un président de cours d'assises, c'est être certain de bénéficier d'un acquittement et cela nous laisse perplexe sur l'absence de contrôle qui peut laisser la porte ouverte à une éventuelle corruption dans la magistrature d'assises.

En effet, après la condamnation abusive et illicite, en cour d'assises, le président de cette cour d'assises a été cité devant le tribunal correctionnel pour insultes, menaces et propos racistes mais le corporatisme des magistrats l'a protégé d'une façon scandaleuse au point d'empêcher M. MABED d'assister au procès qu'il a initié pour la vérité.

La presse locale a annoncé que cette procédure fut une première judiciaire en France sachant que jamais un président de cour d'assises n'a été cité pour son comportement illicite en cours d'audience.

Même dans les républiques bananières, une telle magouille judiciaire pour protéger un violeur des lois républicaines dans l'exercice de sa fonction, ne peut être réalisable, ouvertement et sans gêne.

Dans une autre affaire et comme l'a si bien déclaré devant un tribunal correctionnel l'avocat Parisien Alex URSULET (qui a eu un différent grave avec ce même président de cour d'assises), même a Santiago du Chili durant la période de dictature du général Pinochet, cela n'a pas été vu.

A l’origine, le vrai crime du Docteur Rachid MABED est d’avoir dénoncé 27 bavures policières dont un assassinat par arme à feu tire sur la nuque d'un sans papier Algérien dans le centre de rétention de Nice, une affaire de pédophilie dans laquelle était cité par le père de l'enfant, le doyen des juges d'instruction qui avait la charge du dossier pénal (qui a été radié de la magistrature depuis) et un grave raté de la DST.
Quelques semaines avant cette affaire montée de toutes pièces, le directeur de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, M. Xavier De FURST a menacé de représailles M. MABED qui l'a cité en cours d'assises mais ce dernier n'a pas eu le courage de venir à la confrontation.

De la menace à l'acte, la cour administrative d'appel de Marseille a été amenée à annuler un abus de pouvoir de ce directeur de cabinet qui a hospitalisé d'office et sans expertise, M. MABED et ce, avec la complicité de son épouse qui était directrice des affaires sanitaires à la préfecture de Nice.

Les hiérarques membres d'une fraternelle dénoncée par la presse locale lors de l'arrivée du procureur Eric de Montgolfier, pensaient jeter facilement en hôpital psychiatrique M. MABED pour s'en débarrasser et continuer sa politique d'exactions vis à vis des Arabes sur la côte d'Azur.

Ce fut une pratique mafieuse niçoise avec la collaboration active de la police qui reçoit des ordres d'une préfecture qui, au moment de l'affaire, a été désignée par France 3 comme étant la préfecture la plus raciste de France.

Comme de vrais démocrates, ce couple De FURST, nous a enseigné l'abus de pouvoir avant de lâcher la police aux trousses de M. MABED comme au temps des rafles de la GUESTAPO.
La chasse aux sorcières a débuté au TGI de Nice où une reprise de justice condamnée pour trafic de stupéfiants a servi d'alibi pour éliminer un homme au casier judiciaire vierge mais qui avait déstabilisé le système xénophobe de la nomenklatura niçoise.

Fort de son impunité et probablement de la puissance de ses réseaux occultes, ce directeur de Cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, a été promu Préfet en Outre-Mer ou la population a demandé par la suite son départ...

Voilà dans quel contexte, Monsieur Rachid MABED va être menacé directement sur son portable par des autorités importantes du département de Nice.

En premier, c'est le patron de la DST locale qui a contacté M. Rachid MABED pour lui indiquer son mécontentement suite à son action efficace pour obtenir la libération de M. Miloud BENCHIHA qui avait été incarcéré pour une supposée affaire de terrorisme.

Dans la conversation qui n'aurait jamais dû avoir lieu, la menace de ce chef de la sécurité, a été claire et précise.

Puis, ce fut au tour du Directeur Départemental de la sécurité publique de Nice, M. Pierre PETITJEAN, qui devant témoin et avec un sourire ironique a déclaré à M. MABED que lui aussi aime les femmes alors qu'aucune accusation n'avait encore eu lieu.

De cette accusation ironique prémonitoire, ce Directeur de la police est vite passé à l'acte par des exactions sous forme d'abus de pouvoir incroyable au point où M. MABED va vivre différentes injustices inqualifiables dignes d'un roman de fiction.

La galère pour M Rachid MABED va commencer avec une violence terrible qui démontre que ces mafieux avec des costumes de notables qui ont pignon sur Rue, ne plaisantent pas puisqu'ils ont carte blanche au point de faire jouer la puissance de leurs relations avec la mafia locale.

En Janvier 1998, M. MABED reçoit dans son bureau un nouveau chef d'une entreprise qu'il faisait travailler pour différents travaux de maçonnerie pour des clients de son cabinet de gestion et qui était intervenue au sein de l'hôtel dont il était le directeur.

Quelle fut sa surprise lorsque cet homme tira de sa poche une grosse enveloppe pleine de billets de banque en lui déclarant que cet argent est une commission pour les travaux effectués à l'hôtel.

Immédiatement M.MABED s'est fâché, lui a demandé de reprendre cette enveloppe tout en lui expliquant que s'il voulait lui faire un geste commercial, il pouvait le faire gracieusement par de menus travaux au sein des hôtels.

Plus tard, cet individu a été identifié comme étant un policier qui a infiltré l'entreprise pour pouvoir discréditer définitivement M. Rachid MABED.

La première tentative de déstabilisation mafieuse ayant échouée, les notables sous l'apparence de respectables démocrates, vont utiliser l'internement psychiatrique pour solutionner ce qui constitue pour la pérennité de leurs exactions xénophobes, un vrai problème.

Le 23 Février 1998, alors que M. MABED s'est calmement rendu au commissariat de police pour dénoncer des détournements de fonds au sein des hôtels dont il avait la responsabilité, la police l'a interné avec une facilité impressionnante et sans aucun respect des règles de droit.

Cette séquestration mafieuse prévue pour durer des mois n'a duré que 11 jours grâce à l'intervention énergique d'un conseil qui a déclenché une expertise effectuée par un psychiatre probe, ce qui de facto, a forcé la mafia locale a trouver un autre moyen de répression.

Cette séquestration sera détaillée et montrera que les mamelles françaises de liberté, égalité fraternité, ont atterri dans un espace particulier de la république, règne des privilèges, des passe-droits, de l'opacité, du favoritisme et de l'injustice.

Face à ce nouvel échec, le feu vert a été donné pour la solution finale non pas celle de l'utilisation de la chambre à gaz "antisémite" mais celle de l'exécution Islamophobe d'un innocent qui est perçu comme étant le petit caillou introduit dans la chaussure de ces mafieux niçois.

Le 14 Mars 1998, un homme armé d'un 357 magnum (arme du milieu niçois), a tenté d'assassiner M. MABED dont le parcours honorable ne justifie pas qu'il vive une pareille situation mais la mort n'a pas voulu de lui.

Nous verrons dans ce qui suit, que le blocage de la police pour que cet homme ne soit pas retrouvé, prouvent inéluctablement que cet individu est protégé par le patron de la police.

Il apparaît que plus les autorités locales notent que leurs actions mafieuses n'ont pas abouties et plus ils s'acharnent dans leur projet d'éliminer du microcosme locale, M. MABED.

La haine à l'égard de ce militant déstabilisant l'ordre établi, étant tellement tenace que ces notables qui se voient protégés par une impunité arrivent à oublier le principe fondateur de la démocratique française à savoir le strict respect des lois de la république.

Il a été décidé de sortir la grosse artillerie qui a sûrement déjà été utilisée à l'encontre de pauvres innocents inconnus et qui consiste à intégrer dans cette conspiration antirépublicaine, la justice.

M. Rachid MABED est désigné comme pédophile puisqu'il a été accusé de viol sur une petite fille de 14 ans mais cette accusation est tombée à l'eau lors de la garde à vue du fait de son emploi du temps chargé qui a confondu la petite menteuse dans ses accusations fallacieuses.

Comme cela a pris de court les conspirateurs alors le lendemain de cette garde à vue, au lieu de libérer M. MABED, ce dernier a été accusé de viol sur la mère de la menteuse, femme de chambre dans un hôtel dont il était le directeur.

Cette employée avait été virée après que M. MABED ait appelé la police nationale car elle avait volé une gourmette en or dans une chambre de l'hôtel.

Nous verrons dans ce qui suit, que lorsque M. MABED l'avait virée de son travail 6 mois plus tôt, cette femme de ménage Tunisienne avait déposé une plainte pour harcèlement sexuel en précisant qu'il n'y a jamais eu de viol, (le PV de police est publié ci-dessous).

De surcroît, M. MABED avait donné ses explications sur ce harcèlement imaginaire, à un officier de la police judiciaire qui a vérifié que la police nationale a été appelée pour faire partir cette femme de chambre et le parquet de Nice à classé sans suite cette plainte, évoquant une déclaration non fondée.

Comment expliquer que 6 mois plus tard, le même parquet a déclaré recevable cette plainte de viol basée sur une simple déclaration de cette femme dont la plainte de pédophilie de sa fille à charge venait juste de tomber à l'eau alors qu'il n'y a eu aucun élément nouveau et que M. MABED n'a plus rencontrée cette employée depuis sa précédente plainte jugée abusive ?

Aujourd'hui, Quel magistrat de la république française, peut nous expliquer, comment est-il possible de classer sans suite une plainte de harcèlement sexuel pour manque de preuve et de poursuivre 6 mois plus tard la même personne sans élément nouveau mais uniquement sur la base du même dossier avec la particularité que la plaignante a aggravé le motif de sa plainte ?

Le substitut du procureur, Mme Valérie COURTALON née PORTE à l'origine de cet énigme, endossera pour toujours la responsabilité d'avoir abusé de son pouvoir pour incarcérer un innocent, détruire une famille et confisqué l'avenir de deux enfants dont le plus doué est devenu délinquant à cause de cette séquestration habillée par une procédure légale.

Voilà comment, un père de famille irréprochable, travailleur et engagé pour la défense des droits de l'homme, est subitement devenu un criminel qui aurait développé avec un retard considérable, des instincts pervers de violeur à l'âge de 45 ans.

Le problème est que cette plaignante ne sait pas quel jour exactement elle a été violée. Dans un premier temps, elle a évoqué le 04 décembre 1997 puis le cabinet d'instruction ayant constaté que l'emploi du temps de RACHID MABED contredisait cette date alors elle a rectifié au 05 décembre 1997 en variant dans l'heure exacte.

Le comble est que le président a empêché RACHID MABED de la confondre dans ses mensonges en coupant court à la confrontation en cours d'assises alors que nous avons la preuve concrète suite à des déclarations de la plaignante qui sont mentionnées sur plusieurs documents officiels que son directeur l'a viré le 05 novembre 1997 et qu'il ne l'a plus revu depuis cette date.

De plus, à cette date du 05 novembre 1997, il a fallu appeler la police pour que Mme Hadjer DRIDI quitte l'hôtel ce qui donne une indication explicite sur la conscience tranquille de RACHID MABED.

Cependant la plaignante déclare être à son poste de travail le 5 décembre 1997, jour de présumé viol, alors qu'elle avait été virée devant témoin le 04 novembre 1997 et que ce jour là, elle ne pouvait pas administrativement travailler du fait qu'elle était recensé sur le registre de la CPAM qui lui versait une allocation maladie.


Trouvez l'erreur ?
Cette femme de chambre déclare avoir été violée dans un hôtel alors qu'il est reconnu que ce dernier était fermé pour travaux, qu'il n'y avait aucun témoin direct, aucune trace ADN ni sur ses vêtements ni sur elle, pas de griffure sur le corps alors qu'elle parle de violence, qu'elle a présenté un certificat reconnu officiellement comme falsifié (publié ci-dessous) et que sa plainte intervient 6 mois plus tard.

Allez expliquer cela aux magistrats qui ont eu la charge du dossier MABED !

Il s'agit d'un film mafieux de fiction à la sauce sicilienne, que la magistrature a activé en toute impunité au TGI de Nice, qui jette le discrédit sur toute la corporation et surtout sur une cours de cassation qui est désignée comme étant la cour suprême de l'état de droit français.
C'EST LE DÉNI DE JUSTICE PAR EXCELLENCE !
Dans les semaines qui ont suivies la tentative d'assassinat, M. MABED va être incarcéré sans aucune preuve, sans élément matériel, sans test ADN qui lui a été refusé, avec des déclarations contradictoires à plus d'un titre et malgré des preuves irréfutables de son innocence inscrites sur documents officiels mais volontairement masquées par les instances de la justice.

Pour parfaire le complot, la police a jeté M. MABED en pâture sur la place publique par la publication de sa photo dès sa garde à vue sur le journal Nice Matin qui l'a présenté comme un pervers sexuel alors que son casier judiciaire était vierge.

Sa condamnation sur la place publique s'est faite avec la participation active du juge Christine LORENZINI ou sinon, avec son indulgence car l'impartialité de ce juge a été jeté dans la poubelle de son cabinet d'instruction sachant qu'aucune poursuite n'a été diligentée pour sanctionner ce délit ou pour poursuivre ceux qui ont violé le secret de l'instruction.

M. MABED a fait condamner le journal Nice Matin pour violation de la vie privée mais les 2 officiers de police ou la juge qui auraient violé le secret de l'instruction en déballant sur la place public des contre-vérités, ont bénéficié d'une complète impunité.

Nous sommes tous indignés par l'image scandaleuse de Dominique STRAUSS KAHN aux États Unis alors que cette pratique de violation des droits et de la mise en détention immédiate sans preuve pour un cadre supérieur au casier judiciaire vierge, est régulièrement appliquée en France dans un système d'accusation à l'américaine.

C'est ce système accusatoire qui était appliqué aux Arabes et aux musulmans en général sur la Côte d'Azur, contrairement au système français qui était appliqué avec précaution uniquement aux stars, aux notables, aux riches et à tous ceux qui font partie d'un réseau d'influence.

Par exemple, l'accusation de viol à l"encontre de Johnny Halliday comportait au départ des nombreux documents qui pouvaient fortement présumer de sa culpabilité et des témoignages directs qui confirmaient le crime.

Johnny n'a pas passé une nuit en garde à vue ni même en prison et cela est bien, car plus tard les témoins ont retrouvé une meilleure mémoire pour le disculper.

Contrairement à cette décision émanant du même tribunal, M. Rachid MABED a passé 2 nuits en garde à vue sur simples déclarations faites par une même famille manipulée, dont l'une de ces accusations est reconnue mensongère sur le champ, et il a été immédiatement incarcéré sans aucune preuve.

C'est avec une facilité déconcertante que les magistrats justifiaient à Nice, de la mise en détention automatique de cette catégorie d'accusés à savoir qu'ils évoquaient automatiquement, un risque aléatoire de trouble à l'ordre public ou le risque imaginaire de pression sur la victime et ce, sans se soucier du casier vierge de ces sous êtres humains coupables de ne pas rentrer dans la bonne case.

Nous passons outre, la présomption d'innocence bafouée dont se targuent de respecter les magistrats et l'ignorance du choc psychologique de l'incarcération d'un proche sur sa famille et ses enfants que l'on considèrent sans humanité.

A la suite de cette incarcération immédiate qu'aucun magistrat ne peut justifier même avec effet rétroactif, M. MABED n'a plus revu ses 2 enfants depuis 1998 alors qu'ils sont majeurs aujourd'hui.

La plaignante avait déjà été condamnée pour trafic de stupéfiants et renvoyée de son travail pour vol mais cela n'a pas attiré l'attention des magistrats qui voulaient à tout prix utiliser l'institution judiciaire comme outil pour ce qui est un simple règlement de compte.

Nous avons eu droit à l'instruction uniquement à charge dans le cadre d'une affaire spectacle qui a abouti à une incroyable injustice.

Au TGI de Nice, le dossier de M. MABED était chapeauté par le doyen des juges d'instruction, M. Jean Paul RENARD, qui par la suite a été radié de la magistrature pour sa proximité avec la mafia italienne.

Pour garder un œil véhément sur ce dossier, ce doyen a pris le soin de désigner son amie et protégée (une affaire ultérieure a démontré cela), Mme Christine LORENZINI, pour instruire à charge uniquement et manifester ouvertement sa haine à l'égard de M. MABED.

Deux ans plus tard, les évènements rattrapent cette magistrat puisqu'elle a été désignée comme ayant participé à des soirées chaudes avec des notables niçois qui venaient d'être impliqués dans un trafic de drogue et qui ont menacé, de vive voix, le doyen des juges de divulguer publiquement qu'elle est leur cliente.

De façon médiatique, nous avons appris qu'une enquête du Ministère de la justice a été diligentée sur les liens du juge Christine LORENZINI avec ces notables délinquants mais avec le temps et comme de coutume, l'affaire a été tassée.

C'est cela la justice française qui permet à cette juge de continuer sa mission normalement après avoir violé les règles élémentaires de déontologie, de droit, bafoué la présomption d'innocence, menacé de vive voix un innocent, menacé de poursuite pénale son avocat et fréquenté des notables infréquentables qui ne pouvaient pas la citer sans l'avoir au moins rencontrée.

Le respect du droit pénal est le dernier des soucis de ce doyen des juges puisqu'il a été démontré qu'il a reçu les notables délinquants dans son bureau, sans greffière pour un entretien privé hors cadre légal ce qui est déontologiquement réprimant, éthiquement choquant et formellement interdit par la loi.

Voilà dans quel contexte, le Docteur Rachid MABED a été mise en examen puis en détention, en violation de la présomption d'innocence et des garanties importantes qu'il présentaient.

Le dysfonctionnement de la justice niçoise a été validée par un relais corporatiste digne des plus grands réseaux occultes, jusqu'à la cour de cassation via la cour d'appel d'Aix en Provence et ce, dans le silence complice des médias et des plus hautes instances judiciaires du Ministère de la Justice Française dès 1998.

L'Avocat de Monsieur Rachid MABED a été fermement menacé par le bâtonnier de l'Ordre des Avocats de Nice et par la juge en charge de l'instruction, de se retirer de sa défense faute d'être traduit devant une chambre correctionnelle.

Maître Kambiz HECHMATI dont il s'agit et qui a remis à son client les preuves écrites de cet abus de pouvoir que nous publions ci-joint.

Pourtant, il a été reconnu que la juge Christine LORENZINI, est en couple avec un commandant de la police nationale qui est sous les ordres directs de M. Pierre PETITJEAN qui a déposé une plainte contre RACHID MABED.
C'est à juste titre que Maître Kambiz HECMATI a introduit une requête en récusation du juge devant la chambre de l'instruction et qui a été rejetée illicitement, après avoir reconnu la liaison entre le juge et le policier.
C'est un Déni de justice doublé d'une violation de la loi car, dans ce cas précis, la vie privée du juge d'instruction intéresse bien Maître HECHMATI, puisque sa situation conjugale porte atteinte au droit de la défense comme cela est prévu par la loi en vigueur.

Elle est surprenante cette intervention inappropriée du Bâtonnier de l'ordre des Avocats qui ne doit jamais se mêler du fond des dossiers et qui vient soutenir la juge d'instruction alors qu'il a été élu pour défendre les intérêts des avocats de son barreau.

Vous avez la preuve que cette interférence indicible, inadmissible et illicite, confirme de facto, une conspiration extra-judiciaire !
Menacé par la juge d'instruction et par le bâtonnier de l'ordre des avocats, Maître Kambiz HECHMATI en a immédiatement informé Mme Elisabeth GUIGOU alors Ministre de la justice.

En effet, lors du passage de la Ministre au TGI de Nice, cet Avocat lui a remis en main propre un rapport et cette dernière n'en a donné aucune suite et n'a pas déclenché d'enquête des services, pourtant indispensable.
Aujourd'hui, Mme Elisabeth GUIGOU donne régulièrement son avis sur le respect des droits de l'homme en général, sur la présomption d'innocence sans préciser que pour elle, les droits des personnes sont sélectifs selon que l'on est puissant ou misérable comme le fut à ses yeux M. MABED.

Dernièrement, elle a transmis un courrier à l'ambassadeur de Syrie en France, dans lequel elle faisait la leçon sur le respect des droits de l'homme au gouvernement de Bachar El Assad oubliant qu'elle a ignorait la centaine de lettres que lui a transmis ce moins que rien qui croupissait injustement dans les geôles françaises et qui hurlait son innocence.

En définitive, cette monstrueuse injustice s'est accomplie avec succès grâce au laxisme des autorités judiciaires les plus puissantes au cours de laquelle la panoplie du déni de justice, de l'impunité, du corporatisme manifeste et de la cécité des supposés gardes fous, ont légalisé des violations de la loi que l'on a habillées d'une pseudo-légalité.

L'injustice s'est honteusement banalisée lorsque la chambre de l'instruction a trouvé un subterfuge pour violer la loi qui imposait aux magistrats de remettre en liberté provisoire, immédiatement, M. MABED pour avoir été détenu sans jugement au-delà d'un délai raisonnable.

En refusant de répondre à la question posée sur l'article 367 du Code de Procédure Pénale, cette chambre de "torture" a validé une violation de la loi par une ordonnance de refus contenant des arguments hors sujet mais qui respectait une forme juridique.

Plus précisément, ces honorables hauts magistrats ont délivrés une ordonnance qui ne souffre d'aucune irrégularité puisque le forme juridique est respectée mais rien n'indique dans cette décision que ces juges ont refusé de répondre à l'application de l'article de loi précité, ce qui est évidement un déni de justice.,

La publication des pièces originales du dossier de M. MABED contenant le certificat médical falsifié par la plaignante, le médecin traitant qui contredit sa cliente ouvertement sur l'existence d'un viol conjugué à la mise en relief des innombrables contradictions bizarrement balayées d'un revers de manche par la magistrature alors qu'elles constituent des éléments de preuves incontournables de son innocence, va démontrer qu'un très grave dysfonctionnement a eu lieu au niveau de tous les stades de la procédure pénale.

En aucun cas, il ne pourrait s'agir de multiples erreurs de jugements mais bien d'un abus de pouvoir manifeste avec des violations volontaires de la loi pour nuire à une personne dont l'innocence est une lapalissade.

A ce moment et fort de ce déni de justice caractérisé, nous tenons la preuve que dans ce cas précis, l'institution judiciaire de la république française a servi comme outil pour un règlement de compte mafieux.

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LES 21 PREUVES DE L'INNOCENCE DE RACHID MABED, CONDAMNE PAR LA MAFIA


UN ARABE QUI DÉRANGE LA POLICE RACISTE

VOUS AVEZ 21 PREUVES DE L'INNOCENCE DE RACHID MABED ET IL Y EN A D'AUTRES.

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DES PIECES DU DOSSIER SERONT PUBLIES POUR APPUYER ET EXPLIQUER CHAQUE PREUVE AVEC PRECISION.

A VOUS D'APPRECIER LES DESSOUS DE L'APPAREIL JUDICIAIRE  FRANCAIS QUI EST PERCU A TRAVERS LE MONDE COMME UN MODELE D DE JUSTICE LOYALE ET REPUBLICAINE.


LISTE DES ANOMALIES PROUVANT L'INNOCENCE DE M. RACHID MABED


C’est toujours après coup que les dysfonctionnements de la justice apparaissent au grand jour comme ce fut le cas de la disparition d’Agnès LE ROUX à Nice ou de l’affaire d’OUTREAU.
Dans le cas qui touche à le dossier RACHID MABED, les dysfonctionnements judiciaires ont atteint leur paroxysme car l’esprit corporatiste a mis en péril l’équilibre de la justice et le bon fonctionnement de l’institution.
Première preuve de l’innocence de Rachid MABED
Mme DRIDI a porté le 16 décembre 1997 une plainte pour harcèlement sexuel devant l’officier de la police judiciaire (Côte de procédure D 37) et elle précise : « il n’y a eu ni fellation ni pénétration ».
Puis sans avoir revu son directeur RACHID MABED, le 12 janvier 1998, elle dépose une seconde plainte pour harcélement sexuel, tentative deviol et menaces de mort.

Ce courrier a été adressé en recommandé avec AR,  directement au parquet de nice
et elle précise : « j’ai refusé de coucher avec lui », (Côte de procédure n° D 2/3).

En observant attentivement les deux plaintes, vous constatez que Mme Hadjer DRIDI est allée de sa propre initiative au commissariat de police le décembre 1997 pour rencontrer libre, un officier de la police judiciaire et elle a évoqué ni une tentative de viol, ni des menaces de mort et encore moins des attouchements sexuels.

Puisqu'elle n'a plus revu son directeur bien avant sa première plainte, pourquoi la justice n'a pas cherché à comprendre pourquoi vingt jours aprés, elle déclare une violence qu'elle excluait en disant je refusais, une tentative de viol qu'elle ne pouvait pas ignorer lors de la première plainte et surtout des menaces de mort qui auraient dûes la traumatiser au point de le déclarer immédiatement sur sa plainte du 16 décembre 1997 ?

Non seulement ces 2 déclarations faites devant les autorités judiciaires, précisent qu’il n’y a jamais eu de viol mais elles sont contradictoires et surtout incompatibles entre elles.

C'est en toute logique que suite à l'étude de ce dossier, le parquet de Nice a classé sans suite ces deux plaintes.

Cependant, ce qui est surprenant, c'est que malgré deux plaintes dans lesquelles il est mentionné que jamais il n'y a eu de viol, M. MABED a été condamné pour viol.

Quel magistrat pourrait nous donner une explication ?

Deuxième preuve de l’innocence de Rachid MABED
A ce stade, Mme DRIDI a déposé une plainte pour harcèlement sexuel le 16 décembre 1997 mentionnant devant l’officier de police judicaire qu’il n’y a jamais eu ni de pénétration ni de fellation.
Elle a ensuite déposé une seconde plainte contradictoire le 12 janvier 1998, visant le délit de harcélement sexuel, tentative de viol et menace de mort qui a amené le parquet a classé sans suite les plaintes.


Mécontente du fait qu'il n'y ait pas eu de suite à ses deux plaintes, Mme Hadjer DRIDI poursuit sa cabale en sa qualité d'indicatrice d'une police qui n'a pas encore montré son visage par des interventions directs.


Le 21 janvier 1998, elle dépose une plainte de mise en demeure avant de saisir le conseil des prudhommes de Nice dont elle transmets une copie à la direction de l'hôtel.


Dans cette plainte signée par Mme Hadjer DRIDI, elle fait de nombreuses déclarations qui justifieront de nombreuses preuves de l'innocence de RACHID MABED.


On remarque qu'elle fait état de vexaxions, demenaces et de harcelement mais jamais de tentative de viol, ni de viol.


C'est encore la 3ème preuve consécutive de l'innocence sur la condamnation pour viol de RACHID MABED et qui a été couverte par la justice.
Comment expliquer qu’aucune investigation n’a été menée par les juges d’instruction et par les juridictions répressives, pour approfondir les renseignements sur la plainte de viol irrecevable de Mme DRIDI sachant qu’il n’y a aucun élément nouveau ?

Comment expliquer qu’un mensonge énorme qu aurait été relevé par un étudiant, n’a pas attirer l’attention de magistrats chevronnés ?
Troisième preuve de l’innocence de Rachid MABED


¨Devant l’expert médical la mère a déclaré en sa qualité de tutrice légale, qu’en ce qui la concerne personnellement, elle n’a jamais été pénétrée par M. MABED confirmant les déclarations de la première plainte qu’elle avait déposée et qui était désormais classée sans suite.
¨Naturellement, Mme Hager DRIDI, pensait que l’accusation de sa fille suffisait pour faire condamner Monsieur MABED de pédophilie donc le jeter en prison.


Cependant, outre le fait que la mineure était vierge, cette dernière a été confondue lors de la confrontation et a reconnu le 28 avril 1998 qu’elle a menti.
L’affaire de pédophilie était classée sans suite donc terminée …


Troisième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Il a été découvert que la supposée victime de viol a produit à la justice un certificat d’arrêt de travail falsifié et antidaté, (Côte n° D 156).


C’est un délit pénal grave de conséquence pour M. MABED. En vertu des articles 441.1 et 4441.7 alinéa 1 du code de procédure pénal, la plaignante est passible de 3 ans de prison ferme et de 300.000 Francs d’amende.


Lorsqu’une personne se déclare victime d’agression, elle n’a pas besoin de produire un document falsifié pour justifier sa plainte mais de réelles constatations.


Quatrième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Le 04 novembre 1997, Mme DRIDI alias BOUDJEDRA a été renvoyé de son lieu de travail suite au vol d’une gourmette en OR.


Mme Hager DRIDI refuse de quitter les lieux et cela incite M. MABED à formuler le 17 pour joindre la police nationale par le biais du téléphone de l’hôtel.


Immédiatement Mme DRIDI quitte les lieux et elle se rend chez son médecin traitant qui lui délivre un certificat d’arrêt de travail qui prend effet à compter du 05 novembre 1997 et se termine le 11 mars 1998.


Ce certificat médical est remis à la CPAM et une copie transmise à l’hôtel Médicis, son employeur. M. MABED réceptionne cet arrêt de travail qu’il classe dans le dossier personnel de l’employé Hager DRIDI.


C’est à la suite de cet épisode que la plaignante a déclaré avoir été violée le 04 décembre 1997 et elle a remis au juge d’instruction un certificat médical d’arrêt de travail falsifié.


Qui peut croire qu’un employeur qui aurait violé sa femme de chambre puisse appeler la police nationale pour la forcer à quitter les lieux de son travail par la force de l’autorité policière ?


La justice a refusé à M. MABED la demande d’acte de procédure visant à récupérer les communications téléphoniques et de prouver que M. MABED a bien appelé les services de la police en formulant le 17. Pourquoi ?


Cinquième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Alors que la plaignante a déposé une nouvelle plainte pour viol, contradictoire avec les précédentes plaintes, la brigade criminelle lui a demandé pourquoi n’a- t-elle pas évoqué ce viol lors du dépôt de ses plaintes pour harcèlement sexuel ou tentative de viol.


En effet, elle avait précisé devant l’officier de police qu’il n’y avait eu ni fellation ni pénétration donc de la simple drague.


Pour se justifier du fait de ne pas avoir évoqué un viol dans ses plaintes précédentes, la plaignante déclare que c’est son médecin traitant, le Docteur Lysiane DELFOUR, qui lui a demandé de déposer plainte pour viol (procès verbal du 28 avril 1998, Page 3, Côte D3).


Interrogé par la police, le médecin traitant a démenti cette version des faits sur procès verbal de police (Côte D9, procès verbal du 29 avril 1998).


Par la suite, le Docteur DELFOUR va confirmer de vive voix devant les jurés de la cour d’assises d’Appel de DRAGUIGNAN, qu’il n’a jamais été question d’un viol.


La justice a la preuve indiscutable que la plaignante a mentie lors du dépôt de sa plainte pour viol. L’innocence de M. MABED était là une vérité absolue !


Sixième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Toujours sur ces accusations de viol, la supposée victime explique avoir été chez son médecin traitant qui aurait fait les constations d’usage.


La plaignante a remis un certificat d’arrêt de travail qui s’est avéré falsifié et antidaté, (Différent de celui des constations médicales) ?


Peut-on juridiquement envoyé un innocent en prison sans preuve matérielle, sans indice formel, sans témoignage direct, sans confrontation sur le fond du dossier et surtout sans certificat de constatation du viol ?



Pourquoi la justice n’a pas diligenté une expertise légale pour faire des constations sur le présumé viol ?

Pourquoi aucun psychiatre n’a expertisé la plaignante dont les éléments de la procédure démontrent d’énormes contradictions énormes pour ne pas parler de mensonges ?


Septième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Lorsqu’un détenu est poursuivi pour un délit criminel, la justice a le devoir d’apporter les preuves de sa culpabilité.


Au regard des détails produit dans ce document, nous avons vu que le dossier est truffé de faux, de contradictions et d’anomalies judiciaires.


Il n’y a aucun début de preuves venant accréditer le fait que Monsieur MABED aurait abusé de la plaignante.
Il n’y a aucun indice et aucune preuve matérielle, susceptibles de démontrer la recevabilité de la plainte.
La loi prescrit qu’en cas de doute sur la culpabilité d’une personne poursuivi pour un délit pénal, la relaxe ou l’acquittement est préconisé fortement.


Voilà une preuve juridique qui démontre que la condamnation de M. MABED n’est pas conforme aux règles de droit.


Huitième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Mme Hager DRIDI a épuisé tous les recours possibles pour mettre sous mandat de dépôt, M. MABED.


Ce n’est qu’à ce moment précis que sa fille mineure de 15 ans a accusé M. MABED de l’avoir violé à plusieurs reprises, lui avoir fait subir des fellations avec éjaculation sur le visage et des sodomies.


C’est sur la base de ces accusations que M. MABED a été interpellé en son domicile pour être mis en garde à vue.


Bien que la mineure a reconnue avoir menti, il a été incarcéré à la prion de Nice, (procès verbal n° 11134 du 28 avril 1998).


Les éléments recueillis dans le dossier de pédophilie, montre que la maman a bien été complice des accusations portées par sa fille.


A titre d’exemple, la maman déclare que M. MABED a violé sa fille durant l’été 1997 alors qu’elle ne pouvait pas ignoré avoir mis sa fille dans l’avion pour passer 3 mois de vacances en Tunisie durant le mois de juillet Août et septembre 1997.


Ce mensonge est ressorti à travers le fait que sa fille avait une mesure de surveillance AMO et aussi suite à des déclarations antérieures concordantes avec celle de sa fille.


Voilà des éléments qui confortent l’innocence de M. Rachid MABED.


Neuvième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Mme SABBAGH a présenté un document faux qu’elle déclare lui avoir été remis par Monsieur Rachid MABED, pour faire croire qu’elle a travaillé 3 mois au lieu de 8 jours.


Il suffisait d’une simple confrontation pour faire des vérifications indiscutables à l’audience et démontrer le faux et usage de faux.


Les documents URSSAF, les FAX de déclaration d’embauche, les fiches de paie, le solde tout compte et la déclaration sur plainte de Mme SABBAGH, prouvent qu’elle a bien travaillé que 8 jours à l’hôtel avant qu’il ne soit mis fin à sa période d’essai.


La justice a évité la confrontation directe et a condamné M. MABED sur de simples déclarations de la plaignante qui s’avèrent être incompatibles entre elles.


L’article 646 du code de procédure pénal stipule : « Si au cours d’une audience d’un tribunal ou d’une cour, une pièce de la procédure ou une pièce produite, est arguée de faux, la juridiction décide, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties s’il y a lieu ou non de surseoir jusqu’à ce qu’il ait été prononcé sur le faux par la juridiction compétente ».


Cet élément important du dossier est passé sous silence et cela pourrait ultérieurement amener les magistrats à se justifier sur cette bavure.


Dixième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Le 21 janvier 1998, la plaignante envoie un courrier RADAR dans lequel elle indique qu’elle a été victime d’un simple harcèlement judiciaire, (HCR du 21/01/98 annexé au dossier).


Cette multiplicité de plaintes conjuguée à de nombreuses contradictions aurait du alerté la justice sur le fait qu’il ne peut pas avoir eu de viol pour lequel M. MABED été condamné.


Il est surprenant que la justice n’a pas fait de vérification sur la santé mentale de cette plaignante qui déclare tout et son contraire mais dans plusieurs documents.


L’innocence de M. Rachid MABED devient une lapalissade.


Onzième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Encore une fois, Mme DRIDI alias BOUDJEDRA, évoque prés du conseil des prud’hommes de Nice, un harcèlement.


Face à ces différentes déclaration concordantes sur des accusations de harcèlement sexuel et qui ont été déposées étalées dans le temps, il est évident que lorsque la plaignante évoque 6 mois plus tard un viol, il s’agit d’un mensonge.


C’est encore l’innocence de M. MABED qui apparaît au grand jour.


Douzième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Mme Hager DRIDI accuse M. MABED de l’avoir violé le 04 décembre 1997 alors que dès le 05 février 1998, cette même personne l’avait assigné au Conseil des Prud’hommes de NICE avec Mme Liliane CASSINI en réclamant des indemnités suite à une rupture de contrat à compter du 05 novembre 1997.


Devant le conseil des prud’hommes de Nice, La supposé victime demande le paiement de ses salaires depuis le 05 novembre 1997.


En effet, dans le référé transmis au Conseil des Prud’hommes, elle précise, à juste titre, qu’elle était en maladie dès le 04 novembre 1997 pour dépression nerveuse jusqu’en mars 1998.


Comment peut-elle expliquer qu’elle a été victime d’un viol sur les lieux de son travail en date du 04 décembre 1997 ?


Il est évident que soit elle a voulu escroquer les prud’hommes et dans ce cas elle est une délinquante soit elle a menti et M. MABED est un innocent.


Cependant c’est la thèse du mensonge qui prime car plusieurs documents officiels dont ceux de la police, du rapport d’expertise de la médecine légale de sa fille, du rapport de l’expert Psychologue, le mémoire déposé devant les prud’hommes, la plainte devant le procureur de la république de Nice, prouvent que le 04 décembre 1997 la plaignante ne travaillait plus à l’hôtel.










Treizième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Dans la procédure prés des prud’hommes de Nice, nous relevons d’autres déclarations qui ont été vérifiées et qui ont démontrées que la plaignante a encore menti.


Mme Hager DRIDI déclare dans son mémoire déposée prés du conseil des prud’hommes : « l’inspection du travail ainsi que l’ANPE, ont d’ ailleurs été saisies de nombreuses réclamations à l’encontre des curieuses pratiques de MABED », (Assignation en référé du 05 février 1998, page 2).


Sur procès verbal de police, Monsieur Renaud ALDUINI de l’ANPE, indique, je cite : « il n’y a aucune trace de plainte de personnel ayant pris contact avec Monsieur MABED », (Procès verbal n° 98/11111/10, côte de procédure D 11).


Voilà une nette contradiction qui illustre, encore une fois, le mensonge éclatant de Mme DRIDI alias BOUDJEDRA.


La justice n’a pas fait profiter Monsieur MABED de cette contradiction qui vient se greffer au puzzle de son innocence.


Quatorzième preuve de l’innocence de Rachid MABED

Toujours dans la même assignation de M. MABED pour l’audience du 05 février 1998 devant le conseil des prud’hommes, La plaignante a déclaré, je cite : « Monsieur MABED m’affectait soit disant dans le cadre de sa société personnelle à l’hôtel de BERNE ainsi qu’au nettoyage de locaux privés de sa société », (Assignation, page 2).


En clair, Mme DRIDI tente de faire croire à la justice que M. MABED a commis un délit de conflit d’intérêt.


Elle subodore qu’en sa qualité de directeur des 2 hôtel, M. MABED utilisait les employés de ces hôtels pour le compte de sa société personnelle qui aurait alors encaissé des factures pour des travaux effectués par le personnel des hôtels.


Sur procès verbal de police, Mme Arlette LAUGENIS épouse WOODALL, gérante de l’hôtel de BERNE, déclare devant la police , je cite : « Je ne connais pas de femme de chambre du nom de DRIDI », (procès verbal n° 99/21/6).


Il est confirmé que cette Plaignante a encore une fois menti à la justice. Face à ce nombre considérable de contradictions étouffées, le problème du dysfonctionnement de la justice ne s’évalue plus en terme de faute involontaire.


Il s’agit d’un nouveau mensonge qui conforte l’innocence de M. MABED ne fait plus de doute.


Quinzième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Comme dans cette même procédure prud’homale, Mme DRIDI déclare avoir nettoyé des appartements privés pour le compte de la société personnelle de Monsieur MABED, (Référé page 2, vu et annexé au procès verbal n° 98/885/4, côte de procédure n° 77/16).


Il s’avère que le cabinet de conseil de Monsieur MABED n’a jamais développé l’activité de nettoyage d’appartements privés.


Par conséquent, il était impossible à Mme DRIDI de donner une quelconque adresse d’appartements privés qu’elle prétend avoir nettoyés.


Si la plaignante disait vrai alors les preuves qu’elle pouvait apportées pour contrer M. MABED, auraient été de donner les adresses des appartements privés qu’elle déclare avoir nettoyés.


Ainsi, il aurait été facile pour la justice de vérifier par l’audition, sur commission rogatoire, des propriétaires d’appartements.


Ensuite, la justice aurait pu faire des vérifications comptables de la société et constater que jamais un client privé n’a réglé une facture pour nettoyage.


Cela n’a pas été fait car la vérité aurait vite éclatée. Nous somme en présence d’une pure invention qui démontre que l’innocence de M. MABED ne fait plus de doute.




Seizième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Lorsque Mme DRIDI dépose sa 1ère plainte pour harcèlement sexuel devant l’officier de la police judiciaire, elle précise que son concubin, M. M’ Saddek BELHABIB était témoin du harcèlement le 04 décembre 1998 à l’hôtel, (côte de procédure n° D 37).


M. BELHABIB est un repris de justice notoire et avait déjà été condamné par le tribunal de grande instance de Nice dans une affaire de stupéfiants ou était impliquée Mme Hager DRIDI.


M. BELHABIB ne pouvait pas être à son poste de travail le 04 décembre 1997 pour 2 raisons essentielles.


§L’hôtel qui employait M. BELHABIB était fermé pour travaux depuis le 21 novembre 1997.


Plus aucun employé ne travaillait et il ne pouvait pas y avoir d’exception une semaine après avoir eu un contrôle de l’inspection du travail.


§Monsieur BELHABIB était en arrêt de maladie depuis plus d’un mois et la caisse primaire d’assurance maladie qui lui versait des indemnités nous l’a confirmé officiellement.


Par conséquent, La plaignante a encore menti et il apparaît que cette mythomanie continue trouve sa justification dans une garantie d'impunité de la magistrature.
Voilà des arguments qui viennent se greffer aux preuves de l’innocence de M. MABED.


Dix septième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Messaoudi a citée comme étant témoin des harcèlements sexuels classés sans suite Hadjer DRIDI.
Elle est de nouveau citée par Hadjer DRIDI comme témoin du viol commis en novembre 1998.
PUIS Mme HADJER change sa date du viol puisque la justice lui autorise un ajustement pour que le dossier passe bien
Lors de son audition, Mme Messaoudi été témoin d'un viol au mois de novembre 1997 reste bouche bée lorsque La police lui dit qu'elle est témoin du viol pour le mois de décembre 1998.
Coup de théatre dénoncant une combine de la plaignnante, qui est tombé dans l'eau !


A la barre de la cour d'assisee MESSAOUdIi a déclaré qu'elle n'a rien vu et qu'elle n'est pas témoin d'un viol.
Tout cela, la justice reste aveugle et ne fais rien pour dénouer le vrai du faux car la date du viol a changé pour passer en Décembre 1997 car à un mois d'écart, ce n'est pas un problème.émoidéclare témoin mois de novembre et Dridi mois de décembre.


Dix huitième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Non seulement, Mme Hadjer DRIDI a reconnu devant plusieurs autorités avec quitté définitivement l'hôtel le 04 novembre 1997 aprés que Rachid MABED ait appelé la police pour la voir fuir, mais aucun employé ne travaillait dans cet hôtel fermé pour travaux.
Il ne pouvait pas y avoir d'exception car non seulement il n'y avait pas de travail mais des gtravaux de rénovation étaient en cours effectués par une entreprise privée.


Le chef de cette entreprise, M. ALEX LABANCS, est venu témoigner à la barre de la cour d'assises d'appel, mais les trois magistrats ont eu un problème d'audition  sachant que leur mission était de faire condamner Rachid MABED.


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