lundi 3 octobre 2011

LES 21 PREUVES DE L'INNOCENCE DE RACHID MABED, CONDAMNE PAR LA MAFIA


UN ARABE QUI DÉRANGE LA POLICE RACISTE

VOUS AVEZ 21 PREUVES DE L'INNOCENCE DE RACHID MABED ET IL Y EN A D'AUTRES.

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DES PIECES DU DOSSIER SERONT PUBLIES POUR APPUYER ET EXPLIQUER CHAQUE PREUVE AVEC PRECISION.

A VOUS D'APPRECIER LES DESSOUS DE L'APPAREIL JUDICIAIRE  FRANCAIS QUI EST PERCU A TRAVERS LE MONDE COMME UN MODELE D DE JUSTICE LOYALE ET REPUBLICAINE.


LISTE DES ANOMALIES PROUVANT L'INNOCENCE DE M. RACHID MABED


C’est toujours après coup que les dysfonctionnements de la justice apparaissent au grand jour comme ce fut le cas de la disparition d’Agnès LE ROUX à Nice ou de l’affaire d’OUTREAU.
Dans le cas qui touche à le dossier RACHID MABED, les dysfonctionnements judiciaires ont atteint leur paroxysme car l’esprit corporatiste a mis en péril l’équilibre de la justice et le bon fonctionnement de l’institution.
Première preuve de l’innocence de Rachid MABED
Mme DRIDI a porté le 16 décembre 1997 une plainte pour harcèlement sexuel devant l’officier de la police judiciaire (Côte de procédure D 37) et elle précise : « il n’y a eu ni fellation ni pénétration ».
Puis sans avoir revu son directeur RACHID MABED, le 12 janvier 1998, elle dépose une seconde plainte pour harcélement sexuel, tentative deviol et menaces de mort.

Ce courrier a été adressé en recommandé avec AR,  directement au parquet de nice
et elle précise : « j’ai refusé de coucher avec lui », (Côte de procédure n° D 2/3).

En observant attentivement les deux plaintes, vous constatez que Mme Hadjer DRIDI est allée de sa propre initiative au commissariat de police le décembre 1997 pour rencontrer libre, un officier de la police judiciaire et elle a évoqué ni une tentative de viol, ni des menaces de mort et encore moins des attouchements sexuels.

Puisqu'elle n'a plus revu son directeur bien avant sa première plainte, pourquoi la justice n'a pas cherché à comprendre pourquoi vingt jours aprés, elle déclare une violence qu'elle excluait en disant je refusais, une tentative de viol qu'elle ne pouvait pas ignorer lors de la première plainte et surtout des menaces de mort qui auraient dûes la traumatiser au point de le déclarer immédiatement sur sa plainte du 16 décembre 1997 ?

Non seulement ces 2 déclarations faites devant les autorités judiciaires, précisent qu’il n’y a jamais eu de viol mais elles sont contradictoires et surtout incompatibles entre elles.

C'est en toute logique que suite à l'étude de ce dossier, le parquet de Nice a classé sans suite ces deux plaintes.

Cependant, ce qui est surprenant, c'est que malgré deux plaintes dans lesquelles il est mentionné que jamais il n'y a eu de viol, M. MABED a été condamné pour viol.

Quel magistrat pourrait nous donner une explication ?

Deuxième preuve de l’innocence de Rachid MABED
A ce stade, Mme DRIDI a déposé une plainte pour harcèlement sexuel le 16 décembre 1997 mentionnant devant l’officier de police judicaire qu’il n’y a jamais eu ni de pénétration ni de fellation.
Elle a ensuite déposé une seconde plainte contradictoire le 12 janvier 1998, visant le délit de harcélement sexuel, tentative de viol et menace de mort qui a amené le parquet a classé sans suite les plaintes.


Mécontente du fait qu'il n'y ait pas eu de suite à ses deux plaintes, Mme Hadjer DRIDI poursuit sa cabale en sa qualité d'indicatrice d'une police qui n'a pas encore montré son visage par des interventions directs.


Le 21 janvier 1998, elle dépose une plainte de mise en demeure avant de saisir le conseil des prudhommes de Nice dont elle transmets une copie à la direction de l'hôtel.


Dans cette plainte signée par Mme Hadjer DRIDI, elle fait de nombreuses déclarations qui justifieront de nombreuses preuves de l'innocence de RACHID MABED.


On remarque qu'elle fait état de vexaxions, demenaces et de harcelement mais jamais de tentative de viol, ni de viol.


C'est encore la 3ème preuve consécutive de l'innocence sur la condamnation pour viol de RACHID MABED et qui a été couverte par la justice.
Comment expliquer qu’aucune investigation n’a été menée par les juges d’instruction et par les juridictions répressives, pour approfondir les renseignements sur la plainte de viol irrecevable de Mme DRIDI sachant qu’il n’y a aucun élément nouveau ?

Comment expliquer qu’un mensonge énorme qu aurait été relevé par un étudiant, n’a pas attirer l’attention de magistrats chevronnés ?
Troisième preuve de l’innocence de Rachid MABED


¨Devant l’expert médical la mère a déclaré en sa qualité de tutrice légale, qu’en ce qui la concerne personnellement, elle n’a jamais été pénétrée par M. MABED confirmant les déclarations de la première plainte qu’elle avait déposée et qui était désormais classée sans suite.
¨Naturellement, Mme Hager DRIDI, pensait que l’accusation de sa fille suffisait pour faire condamner Monsieur MABED de pédophilie donc le jeter en prison.


Cependant, outre le fait que la mineure était vierge, cette dernière a été confondue lors de la confrontation et a reconnu le 28 avril 1998 qu’elle a menti.
L’affaire de pédophilie était classée sans suite donc terminée …


Troisième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Il a été découvert que la supposée victime de viol a produit à la justice un certificat d’arrêt de travail falsifié et antidaté, (Côte n° D 156).


C’est un délit pénal grave de conséquence pour M. MABED. En vertu des articles 441.1 et 4441.7 alinéa 1 du code de procédure pénal, la plaignante est passible de 3 ans de prison ferme et de 300.000 Francs d’amende.


Lorsqu’une personne se déclare victime d’agression, elle n’a pas besoin de produire un document falsifié pour justifier sa plainte mais de réelles constatations.


Quatrième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Le 04 novembre 1997, Mme DRIDI alias BOUDJEDRA a été renvoyé de son lieu de travail suite au vol d’une gourmette en OR.


Mme Hager DRIDI refuse de quitter les lieux et cela incite M. MABED à formuler le 17 pour joindre la police nationale par le biais du téléphone de l’hôtel.


Immédiatement Mme DRIDI quitte les lieux et elle se rend chez son médecin traitant qui lui délivre un certificat d’arrêt de travail qui prend effet à compter du 05 novembre 1997 et se termine le 11 mars 1998.


Ce certificat médical est remis à la CPAM et une copie transmise à l’hôtel Médicis, son employeur. M. MABED réceptionne cet arrêt de travail qu’il classe dans le dossier personnel de l’employé Hager DRIDI.


C’est à la suite de cet épisode que la plaignante a déclaré avoir été violée le 04 décembre 1997 et elle a remis au juge d’instruction un certificat médical d’arrêt de travail falsifié.


Qui peut croire qu’un employeur qui aurait violé sa femme de chambre puisse appeler la police nationale pour la forcer à quitter les lieux de son travail par la force de l’autorité policière ?


La justice a refusé à M. MABED la demande d’acte de procédure visant à récupérer les communications téléphoniques et de prouver que M. MABED a bien appelé les services de la police en formulant le 17. Pourquoi ?


Cinquième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Alors que la plaignante a déposé une nouvelle plainte pour viol, contradictoire avec les précédentes plaintes, la brigade criminelle lui a demandé pourquoi n’a- t-elle pas évoqué ce viol lors du dépôt de ses plaintes pour harcèlement sexuel ou tentative de viol.


En effet, elle avait précisé devant l’officier de police qu’il n’y avait eu ni fellation ni pénétration donc de la simple drague.


Pour se justifier du fait de ne pas avoir évoqué un viol dans ses plaintes précédentes, la plaignante déclare que c’est son médecin traitant, le Docteur Lysiane DELFOUR, qui lui a demandé de déposer plainte pour viol (procès verbal du 28 avril 1998, Page 3, Côte D3).


Interrogé par la police, le médecin traitant a démenti cette version des faits sur procès verbal de police (Côte D9, procès verbal du 29 avril 1998).


Par la suite, le Docteur DELFOUR va confirmer de vive voix devant les jurés de la cour d’assises d’Appel de DRAGUIGNAN, qu’il n’a jamais été question d’un viol.


La justice a la preuve indiscutable que la plaignante a mentie lors du dépôt de sa plainte pour viol. L’innocence de M. MABED était là une vérité absolue !


Sixième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Toujours sur ces accusations de viol, la supposée victime explique avoir été chez son médecin traitant qui aurait fait les constations d’usage.


La plaignante a remis un certificat d’arrêt de travail qui s’est avéré falsifié et antidaté, (Différent de celui des constations médicales) ?


Peut-on juridiquement envoyé un innocent en prison sans preuve matérielle, sans indice formel, sans témoignage direct, sans confrontation sur le fond du dossier et surtout sans certificat de constatation du viol ?



Pourquoi la justice n’a pas diligenté une expertise légale pour faire des constations sur le présumé viol ?

Pourquoi aucun psychiatre n’a expertisé la plaignante dont les éléments de la procédure démontrent d’énormes contradictions énormes pour ne pas parler de mensonges ?


Septième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Lorsqu’un détenu est poursuivi pour un délit criminel, la justice a le devoir d’apporter les preuves de sa culpabilité.


Au regard des détails produit dans ce document, nous avons vu que le dossier est truffé de faux, de contradictions et d’anomalies judiciaires.


Il n’y a aucun début de preuves venant accréditer le fait que Monsieur MABED aurait abusé de la plaignante.
Il n’y a aucun indice et aucune preuve matérielle, susceptibles de démontrer la recevabilité de la plainte.
La loi prescrit qu’en cas de doute sur la culpabilité d’une personne poursuivi pour un délit pénal, la relaxe ou l’acquittement est préconisé fortement.


Voilà une preuve juridique qui démontre que la condamnation de M. MABED n’est pas conforme aux règles de droit.


Huitième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Mme Hager DRIDI a épuisé tous les recours possibles pour mettre sous mandat de dépôt, M. MABED.


Ce n’est qu’à ce moment précis que sa fille mineure de 15 ans a accusé M. MABED de l’avoir violé à plusieurs reprises, lui avoir fait subir des fellations avec éjaculation sur le visage et des sodomies.


C’est sur la base de ces accusations que M. MABED a été interpellé en son domicile pour être mis en garde à vue.


Bien que la mineure a reconnue avoir menti, il a été incarcéré à la prion de Nice, (procès verbal n° 11134 du 28 avril 1998).


Les éléments recueillis dans le dossier de pédophilie, montre que la maman a bien été complice des accusations portées par sa fille.


A titre d’exemple, la maman déclare que M. MABED a violé sa fille durant l’été 1997 alors qu’elle ne pouvait pas ignoré avoir mis sa fille dans l’avion pour passer 3 mois de vacances en Tunisie durant le mois de juillet Août et septembre 1997.


Ce mensonge est ressorti à travers le fait que sa fille avait une mesure de surveillance AMO et aussi suite à des déclarations antérieures concordantes avec celle de sa fille.


Voilà des éléments qui confortent l’innocence de M. Rachid MABED.


Neuvième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Mme SABBAGH a présenté un document faux qu’elle déclare lui avoir été remis par Monsieur Rachid MABED, pour faire croire qu’elle a travaillé 3 mois au lieu de 8 jours.


Il suffisait d’une simple confrontation pour faire des vérifications indiscutables à l’audience et démontrer le faux et usage de faux.


Les documents URSSAF, les FAX de déclaration d’embauche, les fiches de paie, le solde tout compte et la déclaration sur plainte de Mme SABBAGH, prouvent qu’elle a bien travaillé que 8 jours à l’hôtel avant qu’il ne soit mis fin à sa période d’essai.


La justice a évité la confrontation directe et a condamné M. MABED sur de simples déclarations de la plaignante qui s’avèrent être incompatibles entre elles.


L’article 646 du code de procédure pénal stipule : « Si au cours d’une audience d’un tribunal ou d’une cour, une pièce de la procédure ou une pièce produite, est arguée de faux, la juridiction décide, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties s’il y a lieu ou non de surseoir jusqu’à ce qu’il ait été prononcé sur le faux par la juridiction compétente ».


Cet élément important du dossier est passé sous silence et cela pourrait ultérieurement amener les magistrats à se justifier sur cette bavure.


Dixième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Le 21 janvier 1998, la plaignante envoie un courrier RADAR dans lequel elle indique qu’elle a été victime d’un simple harcèlement judiciaire, (HCR du 21/01/98 annexé au dossier).


Cette multiplicité de plaintes conjuguée à de nombreuses contradictions aurait du alerté la justice sur le fait qu’il ne peut pas avoir eu de viol pour lequel M. MABED été condamné.


Il est surprenant que la justice n’a pas fait de vérification sur la santé mentale de cette plaignante qui déclare tout et son contraire mais dans plusieurs documents.


L’innocence de M. Rachid MABED devient une lapalissade.


Onzième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Encore une fois, Mme DRIDI alias BOUDJEDRA, évoque prés du conseil des prud’hommes de Nice, un harcèlement.


Face à ces différentes déclaration concordantes sur des accusations de harcèlement sexuel et qui ont été déposées étalées dans le temps, il est évident que lorsque la plaignante évoque 6 mois plus tard un viol, il s’agit d’un mensonge.


C’est encore l’innocence de M. MABED qui apparaît au grand jour.


Douzième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Mme Hager DRIDI accuse M. MABED de l’avoir violé le 04 décembre 1997 alors que dès le 05 février 1998, cette même personne l’avait assigné au Conseil des Prud’hommes de NICE avec Mme Liliane CASSINI en réclamant des indemnités suite à une rupture de contrat à compter du 05 novembre 1997.


Devant le conseil des prud’hommes de Nice, La supposé victime demande le paiement de ses salaires depuis le 05 novembre 1997.


En effet, dans le référé transmis au Conseil des Prud’hommes, elle précise, à juste titre, qu’elle était en maladie dès le 04 novembre 1997 pour dépression nerveuse jusqu’en mars 1998.


Comment peut-elle expliquer qu’elle a été victime d’un viol sur les lieux de son travail en date du 04 décembre 1997 ?


Il est évident que soit elle a voulu escroquer les prud’hommes et dans ce cas elle est une délinquante soit elle a menti et M. MABED est un innocent.


Cependant c’est la thèse du mensonge qui prime car plusieurs documents officiels dont ceux de la police, du rapport d’expertise de la médecine légale de sa fille, du rapport de l’expert Psychologue, le mémoire déposé devant les prud’hommes, la plainte devant le procureur de la république de Nice, prouvent que le 04 décembre 1997 la plaignante ne travaillait plus à l’hôtel.










Treizième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Dans la procédure prés des prud’hommes de Nice, nous relevons d’autres déclarations qui ont été vérifiées et qui ont démontrées que la plaignante a encore menti.


Mme Hager DRIDI déclare dans son mémoire déposée prés du conseil des prud’hommes : « l’inspection du travail ainsi que l’ANPE, ont d’ ailleurs été saisies de nombreuses réclamations à l’encontre des curieuses pratiques de MABED », (Assignation en référé du 05 février 1998, page 2).


Sur procès verbal de police, Monsieur Renaud ALDUINI de l’ANPE, indique, je cite : « il n’y a aucune trace de plainte de personnel ayant pris contact avec Monsieur MABED », (Procès verbal n° 98/11111/10, côte de procédure D 11).


Voilà une nette contradiction qui illustre, encore une fois, le mensonge éclatant de Mme DRIDI alias BOUDJEDRA.


La justice n’a pas fait profiter Monsieur MABED de cette contradiction qui vient se greffer au puzzle de son innocence.


Quatorzième preuve de l’innocence de Rachid MABED

Toujours dans la même assignation de M. MABED pour l’audience du 05 février 1998 devant le conseil des prud’hommes, La plaignante a déclaré, je cite : « Monsieur MABED m’affectait soit disant dans le cadre de sa société personnelle à l’hôtel de BERNE ainsi qu’au nettoyage de locaux privés de sa société », (Assignation, page 2).


En clair, Mme DRIDI tente de faire croire à la justice que M. MABED a commis un délit de conflit d’intérêt.


Elle subodore qu’en sa qualité de directeur des 2 hôtel, M. MABED utilisait les employés de ces hôtels pour le compte de sa société personnelle qui aurait alors encaissé des factures pour des travaux effectués par le personnel des hôtels.


Sur procès verbal de police, Mme Arlette LAUGENIS épouse WOODALL, gérante de l’hôtel de BERNE, déclare devant la police , je cite : « Je ne connais pas de femme de chambre du nom de DRIDI », (procès verbal n° 99/21/6).


Il est confirmé que cette Plaignante a encore une fois menti à la justice. Face à ce nombre considérable de contradictions étouffées, le problème du dysfonctionnement de la justice ne s’évalue plus en terme de faute involontaire.


Il s’agit d’un nouveau mensonge qui conforte l’innocence de M. MABED ne fait plus de doute.


Quinzième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Comme dans cette même procédure prud’homale, Mme DRIDI déclare avoir nettoyé des appartements privés pour le compte de la société personnelle de Monsieur MABED, (Référé page 2, vu et annexé au procès verbal n° 98/885/4, côte de procédure n° 77/16).


Il s’avère que le cabinet de conseil de Monsieur MABED n’a jamais développé l’activité de nettoyage d’appartements privés.


Par conséquent, il était impossible à Mme DRIDI de donner une quelconque adresse d’appartements privés qu’elle prétend avoir nettoyés.


Si la plaignante disait vrai alors les preuves qu’elle pouvait apportées pour contrer M. MABED, auraient été de donner les adresses des appartements privés qu’elle déclare avoir nettoyés.


Ainsi, il aurait été facile pour la justice de vérifier par l’audition, sur commission rogatoire, des propriétaires d’appartements.


Ensuite, la justice aurait pu faire des vérifications comptables de la société et constater que jamais un client privé n’a réglé une facture pour nettoyage.


Cela n’a pas été fait car la vérité aurait vite éclatée. Nous somme en présence d’une pure invention qui démontre que l’innocence de M. MABED ne fait plus de doute.




Seizième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Lorsque Mme DRIDI dépose sa 1ère plainte pour harcèlement sexuel devant l’officier de la police judiciaire, elle précise que son concubin, M. M’ Saddek BELHABIB était témoin du harcèlement le 04 décembre 1998 à l’hôtel, (côte de procédure n° D 37).


M. BELHABIB est un repris de justice notoire et avait déjà été condamné par le tribunal de grande instance de Nice dans une affaire de stupéfiants ou était impliquée Mme Hager DRIDI.


M. BELHABIB ne pouvait pas être à son poste de travail le 04 décembre 1997 pour 2 raisons essentielles.


§L’hôtel qui employait M. BELHABIB était fermé pour travaux depuis le 21 novembre 1997.


Plus aucun employé ne travaillait et il ne pouvait pas y avoir d’exception une semaine après avoir eu un contrôle de l’inspection du travail.


§Monsieur BELHABIB était en arrêt de maladie depuis plus d’un mois et la caisse primaire d’assurance maladie qui lui versait des indemnités nous l’a confirmé officiellement.


Par conséquent, La plaignante a encore menti et il apparaît que cette mythomanie continue trouve sa justification dans une garantie d'impunité de la magistrature.
Voilà des arguments qui viennent se greffer aux preuves de l’innocence de M. MABED.


Dix septième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Messaoudi a citée comme étant témoin des harcèlements sexuels classés sans suite Hadjer DRIDI.
Elle est de nouveau citée par Hadjer DRIDI comme témoin du viol commis en novembre 1998.
PUIS Mme HADJER change sa date du viol puisque la justice lui autorise un ajustement pour que le dossier passe bien
Lors de son audition, Mme Messaoudi été témoin d'un viol au mois de novembre 1997 reste bouche bée lorsque La police lui dit qu'elle est témoin du viol pour le mois de décembre 1998.
Coup de théatre dénoncant une combine de la plaignnante, qui est tombé dans l'eau !


A la barre de la cour d'assisee MESSAOUdIi a déclaré qu'elle n'a rien vu et qu'elle n'est pas témoin d'un viol.
Tout cela, la justice reste aveugle et ne fais rien pour dénouer le vrai du faux car la date du viol a changé pour passer en Décembre 1997 car à un mois d'écart, ce n'est pas un problème.émoidéclare témoin mois de novembre et Dridi mois de décembre.


Dix huitième preuve de l’innocence de Rachid MABED


Non seulement, Mme Hadjer DRIDI a reconnu devant plusieurs autorités avec quitté définitivement l'hôtel le 04 novembre 1997 aprés que Rachid MABED ait appelé la police pour la voir fuir, mais aucun employé ne travaillait dans cet hôtel fermé pour travaux.
Il ne pouvait pas y avoir d'exception car non seulement il n'y avait pas de travail mais des gtravaux de rénovation étaient en cours effectués par une entreprise privée.


Le chef de cette entreprise, M. ALEX LABANCS, est venu témoigner à la barre de la cour d'assises d'appel, mais les trois magistrats ont eu un problème d'audition  sachant que leur mission était de faire condamner Rachid MABED.


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